Carla Bruni, dans une vengeance terrible, ne compte pas rester les bras croisés alors que Nicolas Sarkozy vient d’être condamné à un an de prison ferme en appel, rapporte le magazine Ici Paris.
Carla Bruni fait montre de discrétion sur les réseaux sociaux, c’est pour faire oublier son faux-pas où elle "moquait" les féministes et les victimes de "coronavirus". Et même les grands médias européens y reviennent. Nicolas Sarkozy semble lui avoir conseillé de se faire oublier.
Après Oggi, et Gente, le média espagnol El Pais s’intéresse à la première dame et la dépeint "comme humiliante", alors qu’il s’agit plutôt d’un humour déplacé pour lequel elle s’est excusée dans un long post en italien et en français sur Instagram.
"Il nous arrive parfois de faire des blagues de mauvais goût . Pour amuser la galerie, pour faire le show... », a-t-elle écrit sur ce réseau social.
Et évidemment, cela ne reflète en rien ses vrais sentiments.
Maman de deux enfants dont la petite Giulia, née de sa relation avec Nicolas Sarkozy, Carla Bruni aurait été trahie par un proche, qui l’aurait filmée à son insu en marge d’un défilé de la fashion week.
Son mari, habitué des médias, semble lui avoir conseillé de se faire oublier. Ses détracteurs ne se sont pas calmés.
"Elle fait de l’humour à l’insu de son plein gré... pauvre fille", commentait un détracteur.
"Restes dans ton trou avec ton poursuivi en justice", ajoute un autre.
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