Polémique autour des dépenses de Brigitte Macron : la Première dame critiquée sur les réseaux sociaux.
S’il est une chose que Carla Bruni ne supporte plus, c’est bien le retour de la morale et la censure. Fâchée, elle pousse un coup de gueule dans un message en hommage à Coluche et Pierre Desproges. Un message que Nicolas Bedos n’aurait pas renié.
L’acteur-réalisateur, bientôt de retour avec de nouvelles aventures de OSS117 avait aussi dénoncé la censure.
« Cher Michel, Cher Pierre, depuis que vous êtes partis, le monde a mal tourné, Petit à petit et sans prévenir, la bien-pensance et la censure ont pris le pouvoir », a déploré la chanteuse, avant de se lâcher sur ces justiciers de la morale, « tout un tas de gens sans culture, sans expérience et sans audace essayent de nous imposer leurs idées étriquées ».
« Ils prétendent décider ce que l’on peut ou ce que l’on ne peut pas dire’ ils exigent de contrôler ce qu’il serait juste de penser ou pas et c’est ainsi que leur pensée - unique, stérile et puritaine essaye d’envahir l’humanité. Si par malheur on ne pense pas comme eux et si on ose le dire, ils se ruent sur nous de toute leur petite énergie dictatoriale pour essayer de nous faire taire.
Tout doucement l’humour disparaît sous leurs discours moralistes, la liberté est agonisante, la création exsangue et la démocratie en grand danger. Même la justice qui devrait résister aux tribunaux sauvages - et de fait ces soi-disant justiciers se permettent de poser leurs verdicts et leurs condamnations en dehors de toute loi et de toute présomption d’innocence - même la justice donc , courbe l’échine face à une bande d’anonymes incompétents. Même les médias -qui devraient être nos boucliers contre la tyrannie - se couchent lamentablement et se taisent , terrorisés par le préjudice que leur réaction pourrait infliger à leur petite image ».
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