Une ex du prince Albert de Monaco, en l’occurrence Nicole Coste, la mère d’Alexandra Grimaldi , qui prend la parole dans les colonnes de Paris. Elle semble revisiter l’histoire de Charlène de Monaco et le prince Albert de Monaco dont la relation se serait amorcée, selon elle, fin 2005, et non pas en 2001, comme l’assurait la première dame du Rocher. Elle explique ensuite la raison pour laquelle Alexandre ne serait pas illégitime.
« Il est né d’un amour et reconnu, donc voulu par Dieu. Je suis convaincue. Avant d’être enceinte, j’avais connu une relation de cinq ans avec son père, suffisamment de temps pour nous ayons une confiance mutuelle », a-t-elle déclaré.
« Continuer de dire et d’écrire que notre fils est un enfant illégitime est incorrect et insultant.
En bons français, et selon le code civil, que ses deux parents auraient été engagés maritalement avec d’autres au moment de sa naissance, et de que de surcroît, il ne serait pas reconnu. Or ce n’était nullement le cas", a-t-elle déclaré.
Alexandre est né deux ans avant que ne commence l’idylle entre son père et Charlène en décembre 2005. Avant, ils s’étaient juste croisés. Il est faux de dire le contraire. Je tiens à le souligner, car ce doute a permis à la presse à faire croire que mon fils est illégitime ».
Et à la styliste de poursuivre : "Le terme illégitime est dans le sens enfant naturel dans la mesure où ses deux parents ne sont pas mariés".
Elle laisse ainsi entendre que le fils naturel du prince Albert pourrait prétendre au trône, une confidence que devrait apprécier Caroline de Monaco.
Par ailleurs, d’après Point de Vue, qui relayait les confidences de Charlène de Monaco, la rencontre entre celle-ci et le prince Albert avait eu lieu en 2000, mais leur idylle ne se serait amorcée que l’année suivante. Le prince Albert de Monaco semblait fréquenter deux femmes au même moment, mais semblait décidé à épouser Charlène de Monaco, qui présente une certaine ressemblance avec la princesse Grace.
« Le prince s’est montré charmant, s’intéressant à moi, à ce qui me plaisait dans la vie », confiait-elle à propos de leur première rencontre.
« Je ne savais à quoi m’attendre, mais nous n’étions pas seuls. Un de ses assistants a préparé un café et nous avons admiré la ville vue d’en haut ».
« Tandis que Charlène poursuit en Afrique du Sud sa carrière sportive, Albert, discrètement, s’envole pour Durban. Des allers-retours qui exaltent encore leur passion ».