Charlène et Caroline de Monaco ont affiché une façade unie lors de la cérémonie d’hommage au Prince Albert II à l’Élysée. Malgré les rumeurs de tensions entre les deux belles-sœurs, elles étaient présentes aux côtés du Prince pour célébrer cette...
En plus de ses activités protocolaires, Caroline de Monaco demeure très engagée pour une cause qui lui tient à coeur, un projet plutôt surprenant et intime, qu’elle évoquait lors de sa récente visite en Afrique.
Le 5 décembre dernier, ’Freizeit Revue’ lui a consacré un dossier, où il était surtout question du patrimoine des Hanovre, et notamment de la cession du château de Marienburg, une vente finalement annulée, suite une procédure d’urgence lancée par son mari, le prince Ernst-August de Hanovre.
Et au détour de ce dossier, il est rappelé que même si l’ainée du clan Grimaldi est contrainte de gérer un certain nombre de situations difficiles, elle ne renonçait jamais à ses engagements.
Le magazine a fait référence à un projet surprenant celui de la création de la première usine de fabrication de protections intimes en République Démocratique du Congo. Ce projet a pour objectif non seulement de régler un problème sanitaire, mais surtout de ’redonner aux femme une certaine dignité’.
Et elle ne parlait d’ailleurs avec ’Monaco-Matin’, où elle en profitait aussi pour tirer un coup de projecteur sur la situation des réfugiés en République Démocratique du Congo, un pays qui accueille un demi-million d’exilés, dont plus de la moitié sont des femmes ou des enfants.
’Leur situation est très précaire comme j’ai pu l’observer au sein du camp de Gbadolité, disait-elle. J’ai en tout premier lieu ressenti de la lassitude, lassitude de ces femmes qui attendent depuis maintenant dix-sept ans de rentrer chez elles, lassitude face à la bureaucratie, à l’indifférence’.
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