Une ardoise salée est même évoquée par le magazine Public dans son numéro daté du 27 novembre. Le magazine Closer revient aussi sur cette affaire.
Il y a cinq ans, la chanteuse de 52 ans avait perdu l’homme de sa vie, le père de ses trois enfants, un drame qu’elle a eu du mal à surmonter.
"S’il a fait d’elle une icône dans le monde entier, il avait aussi fait quelques choix malheureux dont elle paie aujourd’hui les conséquences", rapporte la publication.
Il est question de cette entente conclue avec la société ICM Parteners pour des spectacles prévus entre 2017 et 2016, un contrat qui a été rompu en 2018.
Mais la Commission californienne du travail a décidé qu’il devait être honoré.
Céline Dion qui a brisé le silence sur cette affaire s’estime trahie. "Je me sens trahi", a-t-elle lancé selon les propos rapportés par l’hebdomadaire.
"Parce que René n’était pas là pour défendre lors de l’audience, je sens que M. Prinz et ICM en ont profité pour faire des demandes d’argent abusive", a regretté la maman de trois enfants.
Celle qui éprouverait de grandes peines à tourner la page de René Angélil entend faire appel et rappelle à qui veut l’entendre avoir déjà versé plusieurs millions à cette firme.
Pour le magazine "Public" dont la Une est consacrée à Ingrid Chauvin, il s’agit là d’un cadeau posthume de René dont Céline Dion se serait bien passée".