De la vie sentimentale d’Anne-Elisabeth Lemoine, il en est question dans les colonnes de Voici, qui revient sur sa relation avec Bertrand Chameroy, son chroniqueur dans C à Vous, l’émission de France 5.
L’ancienne nageuse professionnelle, désormais princesse, Charlène de Monaco aurait failli trouver la mort dans son élément de prédilection. Elle aurait échappé de peu à la noyade.
Cet épisode est évoqué par le magazine France Dimanche, qui se base sur les révélations de sa biographe Arlene Prinsloo, auteure de l’ouvrage Charlène Story.
Charlène Wittstock entretient un lien profond avec l’eau, un lien qui a également marqué son destin. En tant que championne sud-africaine de natation, pratiquée depuis sa plus tendre enfance, la future princesse a vu en sa mère, Lynette (née Humberstone), reporter sur elle ses propres rêves de compétition déçus.
« Plongeuse émérite, Lynette a été privée de participation aux Jeux olympiques en raison de l’exclusion de son pays d’origine, la Rhodésie (actuel Zimbabwe), pour des raisons liées à la politique de l’apartheid en vigueur dans ce pays proche de l’Afrique du Sud, décrétée par le CIO », rapporte la publication.
Et d’évoquer ensuite une tragédie évitée de justesse.
En 1981, alors que la famille Wittstock résidait dans une somptueuse demeure en Rhodésie, Charlène de Monaco, âgée de 3 ans, se promenait seule près de la piscine située au cœur de la propriété. Maladroite, elle ne « se rendait pas totalement compte du danger qui la guettait lorsque le chien de la famille lui fonça dessus ». Charlène de Monaco tomba alors dans l’eau. Mais le miracle se produisit : grâce aux leçons préventives de sa mère, la petite parvint à nager jusqu’au bord et à remonter sans aucun dommage !
Sauvée par sa mère !
Un autre enfant aurait pu être traumatisé et développer une aversion profonde et définitive pour l’eau. Mais pas Charlène. « Peut-être en a-t-elle tiré une force insoupçonnée ? Personne ne le sait ». Cependant, un an plus tard, un incident étrangement similaire, bien plus tragique, aurait à nouveau touché la jeune fille. Son petit cousin, Richard Humberstone, se serait noyé dans « une rivière en Grande-Bretagne alors qu’il poursuivait son chien ».
Cette tragédie familiale a peut-être nourri en Charlène le souvenir de son cousin, la poussant à devenir une compétitrice hors pair et une princesse atypique, à la fois déterminée et sensible.
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