Pour consolider sa relation avec Charlène de Monaco avec laquelle les rumeurs le prétendent fâché, le prince Albert de Monaco a une méthode bien particulière. Ils s’octroient des moments en famille.
Pour mieux intégrer son rôle de première dame, et accepté la pression médiatique, Charlène de Monaco aurait dû se servir de l’expérience de Grace Kelly. Sa rareté belle-mère refusait d’être la reine Elizabeth II.
La mère du prince Albert de Monaco se savait bien plus libre sur les autres premières dames et des souveraines. Et elle en aurait été convaincue suite à une visite à la reine Elizabeth II au palais de Buckingham.
Cette anecdote est rappelée par la journaliste Sophie Adriansen, auteure d’Une Américaine à Monaco, consacrée à la princesse Grace.
« La reine e ?tait isole ?e, quand Grace se sentait au quotidien en prise avec la re ?alite ? du monde – et quand elle e ?tait a ? Monaco, en prise avec la re ?alite ? de la vie de ses sujets », explique la biographe.
Son expérience aurait pu servir à Charlène de Monaco afin de mieux apprécier son rôle de première dame. Sa grande erreur serait de ne pas s’être entourée d’amis . L’épouse du prince Albert, qui se remet tout doucement des conséquences d’une infection ORL en Suisse, percevrait les conseils livrés par ses proches comme des « interférences ou des velléités d’influence ». Ce serait grave erreur !
Pour la princesse Grace, « l’amitie ? e ?tait trop importante pour e ?tre parasite ?e par des ce ?re ?moniaux. Alors les embrassades les plus simples et since ?res remplac ?aient les re ?ve ?rences conventionnelles, la princesse servait elle-me ?me a ? boire et en guise de serviteurs, les jeunes princes en personne faisaient circuler les assiettes de biscuits sale ?s », indique de son côté la spécialiste. Le faste du de ?cor ne devait en rien ga ?cher l’intimite ? ».
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