L’hebdomadaire fait état du retour compliqué de la princesse Charlène de Monaco au Rocher après un isolement forcé en Suisse à cause de ses ennuis de santé.
Un prêtre américain, William McCandless, qui officiait en sein de sa fondation, a été cité dans une énorme procédure judiciaire lancée dans les années 2000 lors
de laquelle « 300 prêtres de Pennsylvanie furent accus és d’actes pédophiles sur de jeunes enfants âgés de 18 mois à 12 ans » .
Maître Waldron, l’ex-avocat de cet homme, a affirmé que Charlène de Monaco était au courant que celle-ci » et d’autres personnes” lui avait conseillé de quitter son poste en 2017 ».
Les liens sont totalement rompus depuis, surtout après sa fuite.
Maître Lacoste, l’avocat de la princesse Charlène de Monaco, a été contacté par Public, mais s’est refusé à commenter cette histoire.
C’est aussi le cas la procureure générale de Monaco, qui « a mené la perquisition », dans les locaux de la fondation Charlène de Monaco.
Cette histoire survient au pire moment pour l’épouse du prince Albert de Monaco alors qu’elle tente de « se reconstruire ».