Contrairement aux rumeurs de frictions conjugales rapportées par le magazine Voici, le producteur Dimitri Rassam affirme ne rien regretter de sa collaboration avec son épouse, Charlotte Casiraghi, dans la co-production du film "Notre-Dame du Nil", réalisé par Atiq Rahimi et inspiré de l’œuvre de Scholastique Mukasonga.
Dans un entretien accordé Point de Vue dont il fait la Une avec sa chère et tendre, Dimitri Rassam clarifie la situation en déclarant qu’il serait prêt à renouveler cette expérience cinématographique.
"Un film naît d’un désir sincère et d’un alignement des planètes. Charlotte avait initié ce projet que j’ai rejoint ensuite. Évidemment, je ne m’interdirais pas de considérer une autre de ses idées de film", explique-t-il.
Le magazine Voici prétendait que cette production sur le génocide rwandais n’a pas été un succès. Cela aurait provoqué une crise au sein du couple.
Le producteur envisage même de travailler sur un projet lié à la famille Grimaldi à Monaco, la famille de son épouse. "Comme pour Monaco, je pourrais presque ressentir une forme de défiance car je me méfie des recettes, des choses faites par automatisme", ajoute-t-il.
Il précise qu’il ne connaissait que les grandes lignes de l’histoire monégasque, mais qu’après avoir été invité à lire le développement du projet par Beatrice Borromeo, Pierre et Andrea Casiraghi, il a été captivé par le destin des Grimaldi et leurs liens avec l’ensemble du continent.
Dimitri Rassam souligne également l’importance d’éprouver les films dans la durée, à l’aune de son instinct et de ses rencontres. "Chaque jour, lorsque je me rends à mon bureau, un nouveau projet peut exister. Les sources sont infinies, y compris quand elles viennent de personnes très proches de moi", conclut-il.