Charlotte Casiraghi n’est pas la seule à briller. Son mari, le producteur Dimitri Rassam, fait également parler de lui, non seulement pour ses réalisations cinématographiques, mais aussi pour ses passions.
Des précisions sont livrées par Le Parisien, qui lui consacre un dossier.
Amateur émérite de boxe, Dimitri Rassam ne se contente pas de régner sur le monde du cinéma, mais il défie également les limites de sa condition physique, précise la publication.
« Tous les jours, le producteur fait de la boxe ou du cardio et il s’est récemment mis aux bains glacés revigorants, indique Le Parisien, qui le met à l’honneur à l’occasion de sa dernière production, Milady, le second volet des Trois Mousquetaires."
Loin de l’image stéréotypée du producteur cinématographique, Dimitri Rassam se démarque par son mode de vie sain.
"Selon Antoine Nussenbaum, qui le côtoie régulièrement ’avec toute une bande qui se connaît depuis l’école’, il ’n’a jamais fumé une cigarette de sa vie et ne boit que du bon vin’."
Cependant, la vie de Dimitri Rassam n’a pas été sans épreuves. Il a perdu son père, Jean-Pierre Rassam, alors qu’il n’était âgé que de trois ans.
Interrogé sur l’impact des tragédies familiales, il refuse de se laisser enfermer dans un récit victimaire. "On est tous visités par le tragique, mais ce serait indécent de ma part de ne pas avoir conscience que j’ai aussi eu énormément de chance. J’ai été extrêmement choyé.".
Si on le qualifie de sage, Dimitri Rassam ne semble pas vraiment apprécier cette étiquette. "Je ne suis pas sûr que ce soit le terme qui me définisse le mieux, soupire-t-il. Je pense que j’ai une certaine dose de mégalomanie… Je vous confirme que je n’ai pas d’appétence pour l’autodestruction. Pour autant, je n’ai pas l’impression d’avoir une vie rangée."
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