Alors que le Grand Palais à Paris s’apprêtait à rouvrir ses portes en grande pompe, une pluie de personnalités influentes du monde de la culture et de la politique a foulé le pavé. Et ce jour-là, Charlotte Casiraghi a fait une apparition remarquée.
Pas de make-up sophistiqué à outrance, pas de coiffure figée, pas d’artifices tape-à-l’œil.
Elle, simplement elle, avec son teint frais et lumineux, sa chevelure ondulée au vent et un sourire doux capable de dire plus que n’importe quel contouring savamment orchestré, indique un média italien, Delei, qui revient sur cette apparition.
Et cette sortie de l’ex-femme du producteur Dimitri Rassam, qui serait désormais en couple avec l’écrivain Nicolas Mathieu, sonne presque comme un manifeste dans l’univers souvent superficiel de l’image : se montrer au naturel lors d’un événement officiel, qui plus est en compagnie de la ministre de la Culture Rachida Dati et de la présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse.
Pour cette soirée spéciale, Charlotte Casiraghi avait misé sur une tenue sobre mais d’un chic absolu, comme elle seule sait le faire.
Pièce maîtresse de son look : un pantalon plissé anthracite à la coupe masculine impeccable, associé à une chemise bleu clair délicatement ouverte au niveau du décolleté.
Une touche de sensualité raffinée qui se mariait à la perfection avec son blazer structuré à deux maxi boutons, essentiel mais avec une forte personnalité, idéal pour celles qui savent manier le pouvoir avec grâce.
Le tout sublimé par une pochette bicolore noire et blanche, géométrique et suffisamment discrète pour ne pas voler la vedette à l’ensemble.
Ces articles devraient vous intéresser :
