La journaliste de « France 5 » confirme pour l’occasion être hypocondriaque.
« Je suis hypocondriaque, je me soigne en faisant des examens personnels. Dès que j’ai un doute, je fais faire une batterie d’examens. Je vais à peine consulter un médecin. Je me rassure en vérifiant que je n’ai rien dans le sang ou les poumons », a-t-elle admis, avant de parler des angoisses qui la paralysent.
« Il y avait aussi des phobies chez ma mère. Ça se transmet aussi ces peurs. La peur, c’est ce qui se transmet le plus au fond. Et, voyant le visage de ma mère, je savais qu’elle était mal. Et j’ai associé ça après aussi à ma propre vie. Je me suis mise aussi à avoir mes propres inquiétudes. Je pense qu’il y a un tempérament mais il y a aussi une transmission, un socle familial », précise
Claire Chazal.
« Ce ne sont pas des angoisses de l’ordre du stress ou du trac. Ce n’était pas des peurs techniques ou professionnelles. C’était quelque chose d’interne, d’intérieur, contre lesquelles je me suis battue un peu toute ma vie. Voilà comment j’ai avancé. Je pense que j’ai eu moins peur des épreuves réelles que de la vie en elle-même ».