Les coups de coeur littéraires de Charlotte Casiraghi pour l’été

Dans une interview accordé pour "Chanel", elle a dévoilé ses coups de cœur littéraires pour passer un été placé sous le signe de la culture.

Ses confidences sont reprises par Vogue et Bunte.

Parmi les choix de la fille de la princesse Caroline de Monaco on retrouve "Aussi riche que le roi" d’Abigail Assor, un roman qu’elle qualifie de "magistral".

Ce récit envoûtant nous plonge dans le cœur de Casablanca, entre amour, argent et inégalités sociales.

Charlotte Casiraghi, qui se fait discrète cet été, est particulièrement séduite par la plume sensuelle et poétique de l’auteure.

Mais ce n’est pas tout ! Celle qui partagerait la vie de l’écrivain Nicolas Mathieu a aussi une petite faiblesse pour les classiques. Elle recommande "Le livre d’été" de Tove Jansson, un récit touchant sur l’amitié entre une petite fille et sa grand-mère. Un livre parfait pour se détendre et s’évader le temps d’une lecture.

« C’est un petit bijou de douceur très en lien avec la nature, commente Charlotte Casiraghi. Ça se passe sur une île en Finlande et ça raconte le deuil de la petite Sophie, qui perd sa maman et passe son été avec sa grand-mère ».

Ainsi, Le livre évoque un lien aussi puissant qui unit une grand-mère et sa petite-fille.

Siri Hustvedt y Charlotte Casiraghi. Chanel organiza mejores charlas literarias que desfiles. pic.twitter.com/WWQBipUzfW

— Diana (@dipor__) https://twitter.com/dipor__/status/1664229418095484928

De de passion de la lecture, elle en parlait lors d’un entretien accordé au magazine Elle.
« Je ne sais pas pour- quoi je suis attirée parfois par un titre, une couverture. Et il est surprenant de voir à quel point ces ouvrages achetés par hasard nous correspondent au fond. », disait-elle.

Et d’ajouter : « Si je n’avais pas créé Les Rencontres philosophiques, je travaillerais certainement dans l’édition. Pour moi, les livres doivent vous transformer, provoquer des bouleversements dans vos pensées, votre cœur. J’aime qu’ils me permettent de comprendre quelque chose en moi, qu’ils servent de révélateur ».

« J’ai d’ailleurs toujours considéré les écrivains comme des amis... Je suis capable de parler de “mon pote Freud” ! Je ressens une véritable connivence avec eux, il m’arrive même d’imaginer leurs journées ! », glissait en outre la maman de Raphaël et Balthazar.