Elle a en effet été précisée par Lena Lutaud, auteure du livre « Ils se sont tant aimés » sorti aux éditions « Albin Michel ».
La journaliste se livre lors d’un entretien accordé au magazine « l’Obs ».
« Les défenseurs de David et Laura ont découvert que Laeticia était abritée derrière un véritable bouclier fiscal », explique cette spécialiste.
« Juridiquement, la veuve de Johnny ne possède aucun bien du chanteur défunt puisqu’ils sont devenus la propriété des Trusts », poursuit l’auteure de « Ils se sont tant aimés ».
« Elle n’est donc pas solvable aux yeux du fisc français », indique-t-elle.
Closer affirmait pourtant que les exigences de David Hallyday étaient à l’origine de l’arrêt des négociations.
Et le chanteur de 51 ans veut seulement s’assurer que « le travail de son père ne sera pas dévoyé, avec notamment un merchandising inepte, des coussins Johnny, des voitures Johnny ».
L’artiste se méfierait beaucoup de « l’argent facile » et une dérive ‘est toujours possible’.
Et dès qu’il le peut, il ne se prive pas de mettre en garde sa belle-mère, Laeticia Hallyday, qui aurait pour l’heure rompu les négociations.