« Que va-t-il advenir ? « Sans Bernard a ? ses co ?te ?s, la vie de Dominique est bouleverse ?e. Certes, il lui reste ses enfants mais, prive ?e de celui qui fut son phare pendant tant d’anne ?es, que va-t-il advenir de cette veuve dont l’e ?poux e ?tait toujours dans la tourmente a ? cause de l’affaire du Cre ?dit lyonnais ? », s’interroge l’hebdomadaire dans son numéro daté du 8 octobre, se demandant si la veuve de Bernard Tapie allait endosser les dettes et les innombrables de ?me ?lés avec la justice de son mari.
’Pire, sera-t-elle aussi obligée de quitter leur hôtel particulier de la rue des Saints-Père’ ?
Des réponses à ces questions ont été apportées par France Info, qui confirme que les juges de la Cour d’Appel de Paris ont déjà constaté « l’extinction de l’action publique » à l’encontre de Bernard Tapie dans l’affaire de l’arbitrage avec le Crédit Lyonnais, la grande affaire de sa vie.
La procédure en restera donc à la relaxe prononcée en première instance en juillet 2019.
En revanche, les procédures civiles se poursuivent concernant les sociétés de Bernard Tapie, propriétaire notamment de l’hôtel de Cavoye, à Paris, où l’homme d’affaires résidait.
D’après le magazine France Dimanche, ce bien aurait été vendu cet été à François Pinault pour 80 millions, « immédiatement récupérés les liquidateurs judiciaires des sociétés de Bernard Tapie », ce qui prive définitivement Dominique Tapie de son domicile parisien.
Il serait peu probable que les héritiers de Bernard Tapie, son épouse et ses enfants, acceptent la succession évaluée à 300 millions d’euros, alors que les dettes seraient estimées à 400 millions.
La veuve de Bernard Tapie pourrait "accepter sous bénéfice de l’inventaire pour voir si le passif est supérieur ou non à l’actif".