Elisabeth II aurait été humiliante à l’égard de son fils, le prince Charles, qui aurait enfin revanche. Hors de question de se laisser marcher sur les pieds. Ça chauffe au palais.
Le National Enquirer revient une nouvel fois sur la décision de la reine Elizabeth II, qui serait décidée à régler ses succession de son vivant afin d’éviter une crise de pouvoir, surtout en cette période délicate de crise sanitaire.
En raison des ennuis de santé de l’héritier du trône, testé positif au Covid-19, deux ans après une supposée hospitalisation secrète pour une grave pneumonie, la reine Elizabeth II voudrait le ménager en l’écartant du pouvoir.
Le mari de Camilla Parker-Bowles serait dans l’incapacité de gérer la pression, estimerait la reine Elizabeth, qui espérerait que son propre "fils passe la main" et s’écarte au "profit du Prince William". Le prince Charles, fort d’une longue expérience, continuerait à agir en qualité de super conseiller.
Hors de question cependant pour le prince Charles de se laisser faire, et rappellerait à ses détracteurs, l’Acte d’Établissement (Act of Settlement) loi anglaise promulguée par le Parlement de Westminster en 1701, et qui régit les règles de succession, des règles trop importantes pour être soumises aux "caprices d’une souveraine".
Ces articles devraient vous intéresser :
