Brigitte et Emmanuel Macron, ils sont en danger, leur réaction face à la foule furieuse
Brigitte Macron serait actuellement en proie à une grande angoisse concernant la sécurité de son mari, Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron et les rumeurs sur sa vie privée dans Closer
Brigitte et Emmanuel Macron apparaissent cette semaine en Une de Closer, qui titre « Non, il n’est pas gay ».
Le magazine people qui dévoile quelques photos du couple en ses pages intérieures revient surtout sur le démenti que le candidat à la présidentielle a apporté aux rumeurs sur sa prétendue liaison avec Mathieu Gallet, le patron de Radio France.
« Si dans les dîners en ville, si, dans les boucles de mails, on vous dit que j’ai une double vie avec Mathieu Gallet, c’est mon hologramme qui m’a échappé, ça ne peut pas être moi !, a lancé l’ex ministre de l’Economie. C’est désagréable pour Brigitte qui se demande comment je fais physiquement. Elle partage ma vie du matin au soir. Et je ne l’ai jamais rémunérée pour cela ».
Closer ajoute que « les Macron ne goûtent que peu ces rumeurs de caniveau ».
Ce serait la Russie qui serait derrière ces bruits de couloir.
La Russie tenterait en effet de saboter la campagne d’Emmanuel Macron, a confirmé le porte-parole de « En Marche », Benjamin Griveaux.
En confidence lors d’un entretien accordé à BFM TV, le porte-parole de « En Marche », a confirmé l’information révélée par Le Canard Enchainé selon laquelle les médias russes tenteraient de saboter la campagne d’Emmanuel Macron, en alimentant les rumeurs sur sa prétendue double vie.
Si l’ex ministre de l’économie a commenté ces rumeurs sur sa vie sentimentale, c’est pour tordre le cou à ces ragots.
« Ce qu’on observe depuis de nombreux mois et qui est renforcé ces temps-ci, c’est qu’il y a deux sites d’informations russes, en l’occurrence Sputnik et Russia Today, qui multiplient les articles d’une rare bienveillance envers Marine Le Pen et François Fillon et très désagréables envers Emmanuel Macron. On n’a aucun problème avec la liberté d’expression, la presse d’opinion. Mais là, il y a un problème : ces deux médias sont détenus par l’Etat russe » explique-t-il à BFMTV.com.
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