Carla Bruni a récemment pris la défense de Flavie Flament, critiquée pour son apparence physique, en exprimant son soutien lors d’un coup de gueule sur Instagram.
Flavie Flament explique comment elle a réussi à garder le secret du viol dont elle a été victime il y a plus de 20 ans.
L’animatrice de RTL nous apprend dans les colonnes de « Paris Match » que cela s’appelle « l’amnésie traumatique ».
Cette amnésie traumatique est « une action magique du cerveau pour effacer ce qui met en péril la vie psychique ».
« Et puis le souvenir remonte, vingt ou trente ans plus tard. Le mien a refait surface en 2009, à la mort de mon grand-père que j’adorais », explique Flavie Flament qui est revenu sur cet épisode dans son livre « La Consolation ».
« Il s’est manifesté par flashs, provoquant le même effroi ; jusqu’à vous faire sentir les mêmes odeurs. Les souvenirs ne sont pas polis par le temps », regrette l’animatrice, qui a accusé David Hamilton de l’avoir violée à l’âge de 13 ans juste après une séance photo.
Le photographe a mis fin à ses jours la semaine dernière. Ce geste, l’animatrice le déplore.
« J’ai pensé aux victimes venues à moi depuis un mois et demi. J’ai envoyé un message à chacune d’elles. En se donnant la mort, il est venu saccager une nouvelle fois les espoirs de ces gamines », lance-t-elle, interprétant son geste du photographe comme un aveu.
« S’il avait eu des remords ou des regrets, il aurait demandé pardon », fait-elle savoir.
Flavie Flament explique que si le photographe n’a jamais porté plainte lorsque son nom a été ébruité c’est par crainte d’une action en justice de ses prétendues victimes.
« On lui aurait immédiatement répondu par une action judiciaire », explique-t-elle.
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