L’an dernier, la chanteuse de 73 ans se laissait même mourir après une violente chute dans sa salle de bain.
Et elle avait été contrainte de faire un séjour à l’hôpital, où des fortes dosses de morphine lui avaient été prescrites.
Elle a eu plusieurs fois des « crises de panique extrêmes » comme elle le raconte sur le plateau de l’émission de France 2.
« J’appelais ma mère, mon père que j’ai très mal connu, ma sœur avec qui je m’entendais si mal je me dis : "Je perds vraiment la tête". J’étais inconsciente de ça », se rappelle la chanteuse, qui va désormais mieux.
« Mais je n’ai pris conscience de ce cauchemar qu’à mon réveil. Le pire, c’est que je suis passée à côté de la mort dont je rêvais », expliquait une autre fois celle qui vient de sortir « Un cadeau du ciel ».
« A l’époque, je vivais un véritable enfer depuis près de quatre ans. On me disait qu’on allait m’administrer une douzaine de chimiothérapies. Je pensais ? : “Si ma vie doit être ainsi désormais, je préfère mourir. Et si possible dans mon sommeil… », poursuivait-elle.
Françoise Hardy était prête à partir.
« Entre vivre une existence qui physiquement était devenue insupportable et mourir, je préférais mille fois mourir. Vraiment. Je suis une grande partisane de l’euthanasie, depuis l’adolescence », disait-elle.