L’absence de cérémonie religieuse et des Miss est le scandale dont il est question dans les colonnes de France Dimanche, qui affiche l’ex-patronne des Miss en sa Une.
Le décès de Geneviève de Fontenay, survenu le 2 août à l’âge de 90 ans, a marqué le pays. Cette ancienne icône du concours Miss France avait fait part de ses dernières volontés à ses proches, dont celle de ne pas laisser les « hypocrites » assister à ses funérailles.
Ainsi, le 8 août, dans l’intimité, la cérémonie d’adieu a eu lieu au cimetière d’Ivry, en présence de son fils, Xavier, de ses nièces bien-aimées, mais sans les Miss qu’elle avait chéries. Une absence qui a déçu bon nombre d’entre elles.
Geneviève de Fontenay était habituée à tout orchestrer, même lors du triste jour de ses propres funérailles. Exigeante et réaliste, elle avait formulé ses dernières volontés à son fils Xavier Poirot de Fontenay, avec qui elle entretenait des rapports cordiaux mais distants. Ces dernières demandes ont été confirmées par Hubert Guérin, proche collaborateur de la défunte, dans une interview à Ciné Télé Revue le 4 août. France Dimanche reprend ses confidences.
Geneviève de Fontenay avait opté pour des obsèques en comité restreint, suivies de son inhumation dans le caveau familial du cimetière d’Ivry-sur-Seine, vêtue simplement d’une robe d’intérieur.
« Geneviève ne souhaitait pas de cérémonie religieuse ou autre. Elle sera transportée directement de la chambre funéraire au cimetière pour une inhumation dans la plus stricte intimité familiale, en présence de son fils, de ses petites-filles et de ses frères et sœurs. Il n’y aura personne d’autre. Aucune Miss France. C’est un choix de son fils Xavier, en accord avec Geneviève », a confié Hubert Guérin.
La Miss Élégance 1957 a choisi de quitter la scène de manière discrète, un contraste avec sa vie médiatique. Elle repose désormais dans le caveau familial du cimetière d’Ivry-sur-Seine aux côtés de son grand amour, Louis Poirot, décédé en 1981, et de leur fils aîné, Ludovic, qui avait tragiquement mis fin à ses jours en 1984. Ces deuils successifs avaient profondément marqué Geneviève de Fontenay, la faisant prendre conscience de la superficialité des paillettes et de la comédie humaine.