Lors d’un échange avec Thierry Ardisson, Bertrand Chameroy a ouvert son cœur pour partager un pan douloureux de son passé familial. Le sujet délicat de la drogue a été abordé, suscitant des révélations surprenantes de la part du chroniqueur.
La France se prépare à rendre un ultime hommage à Robert Badinter, une figure emblématique de la lutte contre la peine de mort, décédé à l’âge de 95 ans le vendredi 9 février 2024.
Cet événement solennel de deuil national, programmé pour ce mercredi 14 février 2024, se déroulera sans la présence remarquée d’Anne Vernon, sa première épouse.
Le président Emmanuel Macron l’a annoncé sur les réseaux sociaux.
Alors que de nombreuses personnalités politiques sont attendues pour rendre hommage à Robert Badinter, aux côtés de son épouse Elisabeth et de leurs quatre enfants, l’absence d’Anne Vernon, son ancienne compagne, ne passera pas inaperçue.
Désormais âgée de cent ans, elle a exprimé dans une interview accordée à Nice-Matin qu’elle ne pouvait pas se rendre aux funérailles à Paris. Physiquement, elle en serait incapable.
Cette absence représente un grand regret pour l’ancienne actrice, qui était demeurée très proche de son ex-mari. Un peu plus de deux mois avant son décès, ils avaient échangé au téléphone, et leur dernière conversation a été dévoilée.
« Vous savez, à son âge comme au mien, c’est normal de mourir. Nous nous sommes encore parlé il y a environ deux mois et les derniers mots qu’il m’a dits, c’est : ’Rendez-vous au purgatoire !’. Et ça nous a fait rire tous les deux. Il avait de l’esprit et savait aussi se moquer de lui-même », a confié Anne Vernon à Nice-Matin.
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