Bien que son ex-compagnon, Bruno Pelat, l’ait agressée et violentée, Iris Mittenaere ne souhaite pas qu’il soit condamné à de la prison ferme.
L’ex-reine de beauté veut simplement qu’il s’éloigne d’elle, selon les informations rapportées par Ici Paris, qui revient sur cette sombre affaire conjugale.
Les faits remontent à la soirée du 23 septembre. Quelques heures auparavant, Miss Univers 2016 avait défilé pour L’Oréal lors de la Fashion Week de Paris. Le lendemain, visiblement secouée, Iris Mittenaere est apparue avec une main bandée lors du défilé Étam, rappelle le magazine people dans son édition de cette semaine.
C’est au cours de la nuit, que l’animatrice de TF1 s’était confiée à une plateforme nationale spécialisée dans les violences sexuelles et conjugales.
Les victimes peuvent échanger 24 heures sur 24 avec des enquêteurs spécialement formés.
C’est là que l’ex de Diego El Glaouia accusé Bruno Pelat, son compagnon depuis quatre mois et fils d’un riche promoteur immobilier, de l’avoir menacée et frappée dans l’appartement de ce dernier à Montmartre.
Les coups auraient été si violents que « sa tête aurait heurté un mur ».
Interpellé rapidement, l’homme de 22 ans a été placé en garde à vue pendant 48 heures. C’est le 6 novembre prochain qu’il devrait face à ses juges.
En effet, selon l’avocate d’Iris Mittenaere, la jeune femme n’était pas dans un état psychologique permettant sa présence au tribunal. En attendant, contre l’avis du procureur, les juges ont décidé de remettre Bruno Pelat en liberté sous condition. Il lui est strictement interdit d’entrer en contact avec la victime, même via les réseaux sociaux.
Bruno Pelat aurait également été forcé de s’installer dans un autre département pour se tenir éloigné d’Iris. « La détention provisoire, je n’en veux pas. Ce qui compte, c’est qu’il soit interdit de s’approcher de moi », a-t-elle déclaré.
Bruno Pelat a reconnu un « problème d’impulsivité ». Il n’est d’ailleurs pas inconnu des services de justice. En 2022, il avait été condamné avec sursis pour violences et menaces de mort envers son père. L’année suivante, il avait déjà été poursuivi pour violences sur son ancienne compagne.
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