« Julie Gayet, au service de sa majesté », titre l’hebdomadaire people dans son numéro du 1 er décembre.
Et d’affirmer ensuite que la première-dame officieuse a mobilisé ses réseaux pour la campagne de son homme.
« Mobilisés, les réseaux artistiques, culturels, et intellectuels, commencent à se ranger derrière le chef d’Etat », poursuit VSD, qui prétend qu’en « coulisses, Julie Gayet tire les ficelles ».
Très douée, le magazine affirme ensuite qu’elle n’aurait d’ailleurs même plus besoin de le faire.
« Les Us et les coutumes monarchiques de notre pays sont tels que nos artistes courtisans savent être agréables à celui qu’il convient de l’être ».
En octobre dernier, Marianne affirmait pourtant que Julie Gayet commençait à douter de François Hollande.
Ses confidences dans le livre « Un président ne devrait pas dire ça », écrit par le duo de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, seraient en cause.
« Ses quatre enfants, leurs mère, Ségolène Royal ainsi que sa compagne Julie Gayet, ont tous basculé vers ce choix », indiquait la publication.
Invités il y a peu du « Club de la presse » d’Europe 1, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, expliquaient que François Hollande semblait regretter d’avoir trop parler.
« La veille de la publication, on a eu un coup de fil, précisait Gérard Davet. Il était inquiet. Il ne l’avait pas encore reçu, et la première phrase, celle de la ‘Marianne voilée’, était déjà sortie. Il ne maîtrisait pas le processus ».
« On se dit que finalement », François Hollande « existe ».
« Si on s’en tient aux petites phrases, l’effet n’est pas forcément bon pour lui, reconnaît Gérard Davet. Après, quand on lit les 662 pages, on se dit que finalement, François Hollande existe. Le spectre qu’on avait à l’Élysée, un peu fantomatique et aux discours compassés, enfin on le sent ».