Si pour l’instant, le souverain tient bon, les têtes couronnées n’osent imaginer le pire et anticipent déjà l’avenir.
Au centre de toutes les attentions : le prince William, premier dans l’ordre de succession. Le prince Harry, installé depuis quelques années en Californie, il est relégué au rang de simple spectateur
Selon l’expert royal Tom Quinn, cité par la version allemande du magazine In Touch, la maladie du roi Charles aurait précipité les plans de succession de plusieurs années.
Âge de 75 ans, Charles III, même s’il parait en relative bonne forme, comme récemment lors d’un séjour à Rome avec son épouse, livre une bataille acharnée contre un cancer. Il serait au prise avec le cancer du pancréas.
« Personne ne veut envisager le scénario selon lequel William ne pourrait pas reprendre ses fonctions », a confié Tom Quinn, auteur de plusieurs ouvrages sur la monarchie.
Un décès prématuré du prince William représenterait un véritable « scénario cauchemardesque » pour la couronne britannique. Une éventualité que personne n’ose même murmurer dans les couloirs feutrés du palais.
Pourtant, si ce terrible hasard se produisait, c’est Kate Middleton qui se retrouverait propulsée sur le devant de la scène.
La princesse de Galles devrait alors épauler son jeune fils, George, dans son futur rôle de roi. Mais surprise ! C’est le prince Harry qui serait désigné régent ! Une perspective qui hérisse Kate Middleton au plus haut point. « La princesse de Galles détesterait l’idée qu’Harry soit régent avec Meghan à ses côtés », affirme Tom Quinn.
Quant au prince Harry, il est complètement écarté de ces discussions cruciales, conséquence directe de sa décision de prendre ses distances avec ses obligations royales. « Harry déteste le fait d’être complètement exclu du processus de planification de la succession, mais il ne peut s’en prendre qu’à lui-même », a souligné cet observateur avisé de la famille royale.