Laura Smet profite de ses vacances en Corse, où elle a passé une partie de l’été, probablement accompagnée de son fils Léo et de son mari Raphaël.
L’actrice a d’ailleurs dévoilé un aperçu de ce séjour idyllique sur Instagram, en postant une photo de son petit paradis ». En légende de ce cliché, elle a simplement écrit : « À bientôt sublime Corse ».
Une certitude, la fille de Johnny Hallyday, récemment prise à partie par ses petites soeurs, Jade et Joy, est très attachée à la Corse, et ne manquerait sans doute pas d’y revenir.
Avant de s’accorder cette pause bien méritée, Laura Smet venait de terminer le tournage de la mini-série "Surface", une production de France 2 adaptée du roman éponyme de l’écrivain toulousain Olivier Norek.
Aux côtés de Tomer Sisley, elle joue un rôle central dans cette série qui sera diffusée en 2025. Le tournage a principalement eu lieu dans le Tarn, où l’équipe a d’abord posé ses caméras dans la Montagne Noire avant de s’installer dans les monts de Lacaune, à Nages.
Laura Smet semble avoir pleinement profité de cette parenthèse ensoleillée en Corse avant de reprendre son agenda bien rempli.
Son passage sur l’île de Beauté a, sans doute, séduit ses abonnés, qui ont salué la beauté des paysages et le calme qui s’en dégageait.
Côté travail, Laura Smet, qu’une rumeur prétendait enceinte, n’a pas hésité à donner son accord pour se joindre à la distribution de Surface, la mi-série de France.
« Je n’ai pas hésité. J’ai commencé ma carrière en me rasant la tête, je suis habituée aux transformations ! Ici, ce n’est pas gratuit, cela raconte son personnage, son traumatisme, et qui elle est. Cela m’a aidé à jouer. J’ai déjà interprété des femmes qui ont une faille à l’intérieur. Là, la faille est apparente », avait-elle confié.
« Tous les matins, on me met ces deux prothèses et j’ai la tête de Noémie. C’est comme un costume puissance mille. J’ai lu des ouvrages sur des femmes balafrées qui souffrent. Une figurante, qui avait un cancer, m’a dit aussi : "Ce n’est pas la maladie le plus grave, c’est le regard des autres. On se sent différent". Quand je me baladais à Castres avec ma cicatrice, les gens me dévisageaient. Noémie est un animal blessé. Et moi, j’aime changer », dit-elle par ailleurs.
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