Laurence Ferrari a exprimé sa colère et son inquiétude après l’annonce de l’Arcom le 24 juillet 2024. Elle s’inquiète pour Cyril Hanouna et surtout pour les 300 salariés de C8.
En vacances sur l’Ile de Beauté, Laurence Ferrari et Renaud Capuçon posent pour Paris Match, occasion pour la journaliste de se livrer longuement non seulement sur son couple mais aussi sur sa carrière.
A 50 ans, celle qui va lancer une nouvelle émission politique sur C8 baptisée « Punchline » garde les pieds sur terre.
Elle « espère conserver éternellement une longueur d’avance » et envisage « très clairement, dans dix ans, de ne plus faire d’antenne ».
« C’est la raison pour laquelle je viens de relancer ma société de production. C’est une façon de préparer la suite, de me projeter dans les années à venir sans être prise au dépourvu le moment venu », explique Laurence Ferrari, qui rappelle au passage que sa famille a toujours eu une place prépondérante dans sa vie, et qu’elle n’est pas prête de la sacrifier à son travail.
« Je n’ai jamais voulu sacrifier ma famille à mon métier. C’est la raison pour laquelle j’ai rapidement préféré la présentation au grand reportage : cela me permettait d’avoir des horaires stables pour m’occuper des enfants. D’ailleurs pour Elliott, je me sens beaucoup moins tiraillée entre la maison et le travail, dit-elle. La famille est mon pilier, mon ossature, le coeur du réacteur ».
Ces articles devraient vous intéresser :