TF1 s’apprête à frapper fort avec "Projet H", un divertissement inédit qui promet de tenir en haleine les téléspectateurs dès la rentrée prochaine. Il s’agit jeu d’enquête avec plein de surprises et de rebondissements.
Le CSA a répondu à Marine Le Pen, la patronne du Front National, qui avait tiré à boulets rouges sur Laurent Ruquier, auquel elle reproche d’avoir fait état de ses regrets quant à sa collaboration avec Eric Zemmour, qui a été chroniqueur de « On n’est pas couché » durant cinq ans.
« Je regrette car je me rends compte que j’ai participé à la banalisation de ces idées-là », confiait dans le cadre de son émission l’animateur vedette de « France 2 ».
« Pendant cinq ans, ses thèses ont été (entendues, ndlr) tous les samedis soirs », a ainsi avoué l’animateur, avant de commenter les multiples dérapages des candidats du « Front National » sur les réseaux sociaux.
La patronne du Front National n’a pas tardé à dénoncer « un festival de diffamations et d’injures contre le Front national » avant de demander « qu’au moins pendant le temps officiel d’une campagne électorale », les patrons de la chaine de service public « doivent tenter de montrer le visage de l’équilibre et de l’impartialité ».
Le CSA a bien entendu répondu à ce courrier. « Le Conseil n’a pas relevé que les propos tenus ou cités à cette occasion par l’animateur de l’émission ou les invités présents sur le plateau avaient conduit à ce qu’il soit dérogé à ces obligations », explique le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel.
Et d’ajouter : « Le Conseil a indiqué à Mme Le Pen que si elle estimait que les propos tenus au cours de l’émission comportaient un caractère injurieux ou diffamatoire à l’encontre du Front National, il lui appartenait de saisir la juridiction judiciaire ».
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