La vie personnelle du directeur de Sciences Po Paris, Mathias Vicherat, ex compagnon de Marie Drucker, prend un tournant dramatique alors qu’il est confronté à des accusations de violences conjugales portées à son encontre par Anissa Bonnefont, la mère de son second enfant.
Dans une déclaration officielle transmise à l’ensemble de l’école et relayée à l’AFP, ce proche d’Emmanuel Macron propose une "mise en retrait provisoire" de ses fonctions à la présidente de la Fondation nationale des sciences politiques (FNSP), Laurence Bertrand Dorléac.
Cette proposition intervient après qu’il a été placé avec sa compagne en garde à vue la semaine dernière dans le cadre d’une enquête sur des allégations mutuelles de violences conjugales.
Le 4 décembre, leurs gardes à vue ont été levées, sans constatation de blessures nécessitant une interruption temporaire de travail (ITT) pour l’un ou l’autre des partenaires.
Bien qu’aucune plainte n’ait été déposée, une enquête préliminaire pour "violences conjugales" a été ouverte.
Dans son message, Mathias Vicherat indique qu’il a proposé à Laurence Bertrand Dorléac de se retirer temporairement de ses fonctions, laissant à la présidente le soin de définir les modalités, le calendrier et la durée de cette mise en retrait. La proposition de l’ex de Marie Drucker souligne la volonté de coopérer avec l’enquête et de permettre à l’école de maintenir son fonctionnement malgré les circonstances délicates.
Mathias Vicherat a refait sa vie avec la réalisatrice Anissa Bonnefont, suite à l’implosion de son couple avec Marie Drucker peu de temps après le confinement. La fin de leur belle histoire a été révélée par le magazine Ici Paris. La journaliste aurait voulu retrouver sa liberté.