Cette option est évoquée dans « Le Parisien », dans son édition de ce dimanche.
Ses proches dont Melania Trump craindraient qu’ils visés par une plainte . Il risquerait la prison.
Cette nouvelle procédure pourrait faire « du milliardaire une figure martyre ».
Mais avant de quitter la Maison-Blanche, le président des États a évoqué la possibilité de s’accorder son propre pardon, « même s’il n’a pas encore rédigé de document en ce sens ».
« Les experts, eux, se disputent sur la légalité d’une telle manœuvre », précise le quotidien.
Il y a deux ans, un journaliste du « Washington Post », Bob Woodward, s’était interrogé sur la santé mentale de Donald Trump. un livre intitulé « Fear Trump in The White house », « Peur, Trump à la maison blanche ».
Dans cet ouvrage le mari de Melania Trump est décrit « comme un roi fou et déchainé, qui a failli tout bêtement déclencher la troisième guerre mondiale, un homme irresponsable ».