Alors qu’il anime avec une nouvelle émission sur le sommeil sur France 2, Michel Cymes se confie sur un pan méconnu de sa vie : son combat contre le cancer du rein, diagnostiqué en 2008.
Alors que Michel Cymes a été pris pour cible pour avoir minimisé la dangerosité du Covid-19, une ancienne ministre, qui est aussi médecin, se porte à son secours d’une façon indirecte.
Il s’agit d’Agnès Buzyn, spécialiste d’hématologie, d’immunologie des tumeurs et de transplantation, à l’hôpital Necker.
Et ses confidences livrées dans le cadre de "C’est du live" de France Inter ont été reprises par le magazine Voici, dans son numéro daté du 5 juin.
"Diagnostic inchangé", titre l’hebdomadaire people avec en Une Laurent Delahousse et sa fiancée Alice Taglioni.
"Je n’ai pas entendu beaucoup de scientifiques ou de médecins dire, un mois que je suis partie que le Covid-19 allait être grave", a-t-elle indiqué.
Michel Cymes a été critiqué pour avoir minimisé la dangerosité du coronavirus sur Europe 1. Il l’aurait qualifié de "grippette", ce qu’il dément.
Par ailleurs, Michel Cymès avait à l’époque dénoncé les célébrités qui bénéficiaient d’un dépistage du Covid-19 grâce à un passe-droit.
« On ne peut pas faire un test à tout le monde. Ils sont en train de casser tout ce qu’on essaye de faire passer message au Français. Des messages de rigueurs », lançait-il sur le plateau de "C à Vous", le rendez-vous de « France 5 ».
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