Les circonstances ce drame sont relatées par le magazine Ici Paris, qui évoque une septicémie, qui est une affection potentiellement « mortelle qui correspond à l’infection du sang, le plus souvent par une bactérie, parfois un virus, ou plus rarement un champignon ».
Au moment où cette infection du sang se déclare, Nathalie Marquay « se trouve sur une plage du Lavandou ». C’est là qu’elle a été immortalisée par le magazine Closer quelques jours plus tôt.
« Lou rend visite à l’une de ses proches amies qui passe sa journée dans une école de voile de la station varoise. Soudain, la planche glisse, s’échappe, et le drame survient : son amie se blesse au genou et fait un épanchement », glisse la publication.
Pour appuyer ses propos, le magazine se base sur les confidences de Lou sur les réseaux sociaux. La fille de Nathalie Marquay et Jean-Pierre Pernaut avait téléphoné aux pompiers pour sauver son amie, mais ces derniers auraient refusé se déplacer, estimant sans doute la blessure sans gravité.
« On a décidé d’appeler les pompiers et les ambulances, qui se sont dit que ce n’était pas un cas d’extrême urgence. Donc, pompiers et ambulances, vous attendez quoi quand on vous dit qu’il y a une personne qui est en train de vomir de douleur ? Vous attendez quoi pour venir la chercher ? Je ne sais pas, je ne comprends pas ! », a-t-elle raconté sur Instagram.
Finalement, la décision a été prise d’emmener son amie aux urgences, où elle a été rapidement prise en charge. Il s’agissait d’un empoisonnement du sang et risque d’amputation.
« Il se trouve qu’elle avait une infection dans le genou qui s’est propagée dans toute sa jambe », a précisé la fille de Nathalie Marquay. « Si on avait attendu deux ou trois jours de plus, elle aurait pu littéralement décéder parce que l’infection aurait empoisonné tout son sang. Elle est à “ça” de se faire amputer. ».