Pour la première fois, Nicolas Bedos partage une photo de sa petite Joséphine, né de sa relation avec Pauline Desmonts.
Sa dépression et sa descente aux enfers, Nicolas Bedos les évoquent dans les colonnes du nouveau numéro du magazine Psychologies, relayé par Ici Paris.
Une belle opportunité pour le chroniqueur de ’On n’est pas couché’ de se livrer sans tabou.
Le comédien actuellement à l’affiche du film L’art de la fugue dans lequel apparaît Elodie Frégé revient sur ses "démons" qu’il a "su étrangler" avec le temps.
Nicolas Bedos se rappelle que lorsqu’il était enfant, il était déjà assailli ’d’une flopée d’idées de merde’.
’Disons qu’à 11 ans j’avais le système nerveux déjà très encombré’ confie-t-il.
Et avec le temps, malheureusement, la situation n’a fait qu’empirer, évoluant vers une dépression nerveuse, consécutive à des TOC.
’Je portais des gants en classe, je me lavais cinq fois par jour, je désinfectais mon bureau, je ne supportais pas le contact des corps, je comptais tout trois fois... La belle vie !’, se souvient-il.
Le pote de Jean Dujardin est même devenu parano et dépressif.
’Moi qui rêvais de devenir écrivain, j’ai soudain focalisé sur l’idée, obsédante et irrationnelle, que mon cerveau était brûlé : je ne pouvais plus ni penser ni parler. Ma vie était fichue’, explique celui qui aura mis quatre ans à sortir de cet enfer.
’Pour l’avoir vécue, je sais que le pire des poisons, c’est la dépression, pas l’antidépresseur !’, explique-t-il.
Ces articles devraient vous intéresser :