L’animateur de The Voice se rappelle de sa première participation à « Union Libre » en octobre 1998.
Et il avait accepté de bonne grâce d’être le grec de service et pour cause !
Il adore parler des traditions de son pays d’origine.
« Je pense arriver, m’amuser et repartir à Lyon, où je travaille pour Euronews. C’est une formidable école, avec une formidable femme, Christine bravo », ajoute Nikos Aliagas, qui la considère comme sa soeur.
« On rigole en plateau, mais Christine est très exigeante avec nous », tient à préciser l’animateur, se rappelant d’un surprenant commentaire de son mentor sur la célébrité.
« Un jour, elle me dit : ’Tu verras, bientôt tu ne pourras plus acheter des slips incognito.’ Je comprends, bien plus tard, ce qu’elle veut dire », glisse-t-il. À l’époque je pense que le divertissement ce n’est qu’un passage ».