L’ex-youtubeuse désormais écrivaine qui accuse le journaliste d’agressions sexuelles « est-elle, comme il le dit, prête à tout, pour être célèbre ? Ou s’agit-il d’une ignoble stratégie destinée à discréditer la parole de la victime ? », s’interroge l’hebdomadaire.
Le premier viol aurait eu lieu en 2004 , alors qu’elle n’était âgée que de 21 ans.
Cela ne l’a pas empêché de revoir cinq ans plus tard son présumé agresseur dans le cadre d’un mémoire qu’elle écrit.
PPDA l’aurait alors forcée à lui faire une fe**ation.
Quelques années après les faits, Florence Porcel aurait réalisé la gravité des actes et la décision aurait été prise d’ébruiter l’affaire. Le magazine « Public » s’interroge sur ses réelles motivations.
Aurait-elle dénoncé son agresseur présumé à ce moment-là si elle n’avait pas été prise dans le scandale médiatique de la Ligue du LOL », une affaire de harcèlement dans laquelle l’écrivaine s’était dit victime de journalistes cruels ? ». L’hebdomadaire semble répondre par la négative.
Dans un message sur Facebook, PPDA affirme qu’il n’y a jamais "eu aucune forme d’emprise, ni a fortiori de contrainte".
"Les écrits de Mme Florence Porcel que j’ai conservés le prouveront amplement », a précisé le journaliste qui vit « douloureusement ces attaques ».
Le Parisien de son côté a recueilli le témoignage des femmes qui auraient eu affaire à lui. Il se montrerait insistant.
« A chaque fois qu’un scandale MeToo éclate, je ne peux m’empêcher de me demander : pourquoi rien ne sort sur PPDA ? » lâche par ailleurs une reporter
qui a travaillé à ses côtés pendant une décennie.