Nouveau rebondissement dans l’affaire Patrick Poivre d’Arvor. Ce mercredi 28 février, RTL révèle que la deuxième enquête préliminaire pour viols et agressions sexuelles visant l’ex-journaliste a été classée sans suite.
En pleine promotion de son dernier roman ’Un homme en fuite’ sorti en librairie le 5 mars dernier, Patrick poivre d’Arvor s’est confié lors d’une interview accordée à Gala, occasion de revenir sur la mort de trois de ses enfants dont Solenn.
’J’en ai perdu trois. La première, Tiphaine, a été victime de la mort subite du nourrisson. Au moment de sa naissance, comme de sa mort, j’étais en reportage, loin, je n’ai pas eu le temps de vraiment la connaître et cela résonne comme un regret’, confie le journaliste.
’Puis, il y a eu celle que l’on souhaitait appeler Garance, qui n’a pas vu le jour car sa mère a eu un accident de voiture et a perdu le bébé à quelques jours du terme. Et Solenn…’.
’Elle s’est suicidée à dix-neuf ans. On avait une vraie complicité, bien au-delà de la simple relation père-fille’, poursuit l’ex pape du 20heures de TF1.
’Elle me manque. En même temps elle est là. Dans le cœur de ceux qui l’ont aimée. Et dans cet hôpital, la Maison de Solenn, que l’on a créé en 2004 pour combattre cette maladie’, dit-il en référence à l’anorexie dont sa fille a été victime.
Au moment de se donner la mort, Solenn avait laissé un message. ’Merci pour tout, mais je n’aime pas la vie’, avait-elle écrit.
’Elle avait laissé ce message sur mon bureau, dans mon sous-main… Souvent le suicide est une façon d’ôter sa souffrance plus que de s’ôter la vie. Dans son cas, c’était ça. Elle voulait cesser d’avoir mal’.
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