D’après Ici Paris, le plus célèbre prisonnier de France aurait développé une nouvelle addiction, bien moins dangereuse que ses précédentes addictions à l’alcool, la drogue ou le sexe : un penchant pour le sucre, et plus particulièrement le chocolat.
Plusieurs fois par jour, il succomberait à cette tentation, sous les yeux des gardiens. Confiné, pour sa sécurité, dans un quartier d’isolement et dans une cellule de 9 m², l’humoriste est livré à lui-même et sous la surveillance constante des gardiens, quelque peu « irrités » par l’attention particulière que requiert ce détenu.
Selon un psychologue carcéral, « les addictions alimentaires ou comportementales sont fréquentes en milieu fermé. Elles remplacent souvent les addictions à des substances illicites, en offrant une satisfaction immédiate et évitent de confronter les détenus à leurs traumatismes. Mais elles restent des mécanismes d’évitement. »
Pierre Palmade aurait les moyens de se faire livrer des douceurs sucrées en prison, ce qui ferait dire à un gardien que l’endroit ressemblerait désormais à un « room service » !
Au moment de sa condamnation, Pierre Palmade avait pourtant promis de continuer à lutter contre ses différentes addictions. N’avait-il pas assisté à son procès a priori sevré grâce à un suivi médical strict ? La dure réalité de la détention l’aurait-elle rattrapé ?