Afin de prouver son engagement envers sa santé et son bien-être, Pierre Palmade s’est volontairement soumis à des contrôles d’addictologie au service spécialisé du CHU de Bordeaux, rapporte l’hebdomadaire qui lui offre sa Une.
Aucune trace de substances illicites n’aurait été détectée. Ainsi, si le juge venait à interroger l’artiste sur cette sortie inhabituelle qui a fait couler beaucoup d’encre, il aura la preuve qu’il a respecté scrupuleusement son obligation de suivi médical.
Cependant, derrière l’humour mordant qui lui est si propre, Pierre Palmade confie être profondément meurtri. Il révèle que la perte de son père a laissé des traces indélébiles dans sa vie.
Interrogé sur sa capacité à faire face à cette épreuve, il répond avec une pointe d’amertume : "Mon père est mort et parfois je ris.".
Cet humour caustique dissimule la profondeur de sa douleur et des conséquences irréversibles qu’elle a engendrées. L’ex-complice de Muriel Robin éprouve des difficultés à surmonter le drame et le terrible accident qu’il a provoqué. Il s’en veut ;
Comme le précise la publication, Pierre Palmade pleure non seulement les lendemains perdus, mais aussi les vies brisées qu’il a causées : le bébé à venir qui ne verra jamais le jour et sa mère éplorée, le petit garçon marqué à jamais par les séquelles, et son propre père, toujours hospitalisé à cause de ses excès.
Les révélations poignantes de Pierre Palmade témoignent de sa fragilité et de sa volonté de se reconstruire malgré les épreuves, indique la publication.