
Pendant que Meghan Markle traverse des épreuves complique, Kate Middleton brille de mille feux. Tel un tableau inversé, la vie de la duchesse de Cambridge semble être l’opposé parfait de celle de sa belle-soeur.
Depuis l’annonce de son cancer en mars dernier, Kate Middleton s’est faite plus discrète. Ses récentes apparitions, comme dans la vidéo de félicitations aux olympiens britanniques, ont suscité de nombreuses interrogations. L’une d’entre elles concerne l’absence de son alliance.
Des précisions sur la raison du retrait de son alliance ont été précisées par Hello !
Ce serait à cause de son traitement contre le cancer, qui chamboule son quotidien depuis quelques mois.
Selon un oncologue interrogé par le magazine britannique, le retrait de l’alliance pendant un traitement contre le cancer peut s’expliquer par plusieurs raisons.
La chimiothérapie peut entraîner une rétention d’eau, rendant les bagues inconfortables voire dangereuses. La radiothérapie peut aussi provoquer des brûlures cutanées, et la sensibilité accrue de la peau peut entraîner des irritations.
Enfin, le retrait des bijoux limite le risque d’infection, une préoccupation majeure pour les patients en cours de traitement, fait savoir ce spécialiste.
Ces éléments suggèrent que le choix de l’épouse du prince William de retirer son alliance pourrait être lié à des raisons médicales liées à son traitement.
Bien que l’on ne dispose pas d’informations officielles à ce sujet, cette hypothèse semble plausible au vu des conseils médicaux généralement prodigués aux patients atteints de cancer.
Par ailleurs, une piste sur le type de cancer dont souffre la princesse de Galles a été évoqué par un spécialiste.
Selon l’oncologue David Khayat, interrogé par Voici, seules deux seules hypothèses sont possibles, d’après les informations livrées par le Palais.
Deux cancers qui se soignent relativement bien.
« Son cancer a été découvert à la suite d’une chirurgie abdominale. Or, il n’y a que deux types de cancer que l’on peut découvrir de cette manière :le cancer du côlon et le cancer des ovaires », a expliqué l’ancien directeur de l’Institut national du cancer. « Et ce sont deux cancers qui se soignent aujourd’hui avec presque 100 % de rémission et 85 % de guérison ».
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