Des détails sont rappelés par le magazine Public, dans son édition de cette semaine.
Les témoignages de victimes, en provenance de la République du Congo, ont finalement brisé le silence.
Implorant le prince Harry d’intervenir auprès du président d’African Parks, l’ONG en question, afin de mettre fin à leurs souffrances, ces individus ont partagé des histoires déchirantes d’abus sexuels, de torture, et même de meurtres perpétrés par les écogardes armés de l’organisation. Le fils de Charles III a un lien très particulier avec l’Afrique. Il aime bien s’y rendre de temps à autre, notamment avec Meghan Markle.
Bénévole et membre du conseil d’administration depuis novembre dernier, l’héritier Windsor est désormais confronté à un dilemme moral. Bien qu’il ait répondu avec une lettre qui serait empreinte de sympathie, dans laquelle il promettait une action rapide, les critiques suggèrent qu’il aurait pu faire davantage pour sensibiliser et agir.
Seuls les médias britanniques et une association de protection des victimes ont réussi à attirer l’attention sur cette affaire, poussant l’ONG à lancer une enquête interne.
Les populations autochtones du Congo, elles, réclament plus que des enquêtes internes. Elles exigent la démission du prince Harry.