Mais avec ses nombreuses déclarations incendiaires sur la famille royale, l’affaire s’annonce bien difficile.
Sa crainte serait que le monarque, qui se bat contre un cancer, perde la vie. Son successeur, le prince William serait intransigeant.
Des vérités qu’il aurait peut-être fallu taire. Depuis son exil aux États-Unis avec sa famille, le prince Harry a coupé les ponts avec le reste de la famille royale, pour le bien de sa santé mais aussi celle de sa femme, Meghan Markle. La pression étant trop forte.
Mais alors que le prince semble exprimer des regrets à la suite de cette décision, le duc de Sussex est en quêtede rédemption auprès de son père, le roi Charles III, tentant par tous les moyens de retrouver son statut au sein de la famille royale.
Une volonté exprimée depuis l’annonce du cancer du roi, renforcée par la solitude que le père d’Archie et Lilibet ressent depuis qu’il a quitté sa terre natale. Et si le prince déchu s’est tourné vers son père pour faire son mea culpa et regagner sa place au sein de la Firme, selon l’experte royale Emily Andrews, interrogée par The Sun, ce n’est pas pour rien.
En effet, selon elle, il est évident que le prince "en a assez de jouer un petit rôle dans un récit de conflit familial, et qu’il ne cherche rien d’autre que retrouver sa réputation et d’être connu, à terme, comme un acteur sérieux dans le monde de la philanthropie".
Mais pour cela, il faut que le duc se réconcilie vite avec la Firme, notamment pendant le règne de son père. Car si le prince Harry s’est permis des déclarations et révélations incendiaires sur la famille royale, c’est parce qu’il savait "qu’il serait plus facile de conclure un accord avec le roi Charles qu’avec William, pendant qu’il est le monarque en titre", explique Emily Andrews.
En cela, le diagnostic de Charles III pourrait avoir "modifié ce calendrier potentiel ».
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