Charlène de Monaco est connue pour ses absences fréquentes lors des rendez-vous importants, mais cette fois-ci, son absence à un événement spécial a suscité de nombreuses interrogations.
Une dizaine de jours après l’annonce de sa fausse-couche, Meghan Markle serait toujours tourmentée, et son mari, aurait du mal à l’apaiser.
De cette épreuve intime, le magazine Die Aktuelle, y revient cette semaine, confortant le propos des magazines Ici Paris, et le Soir Mag, qui ont aussi rappelé que la fausse-couche spontanée le premier trimestre de la grossesse est une épreuve "intime que chaque femme, chaque couple, surmonte différemment".
Les explications d’une spécialiste, une psychologue clinicienne et psychothérapeute universitaire, Céline Timmermans, ont été recueillies.
Elle insiste sur la difficulté du processus du deuil périnatal.
Le fait que l’épouse du prince Harry ait parlé de ce drame dans un billet publié dans le New York Time, est une façon de faire son deuil, une manière de faire exister cet enfant.
"Quand une personne décède, on parle souvent de nos souvenirs avec lui, c’est une façon de faire son deuil. Là, il n’y a pas de souvenirs communs, c’est très compliqué. Il faut faire exister cet enfant qui n’a pas eu la chance d’exister sur Terre" , précise la praticienne lors d’un entretien accordé au Soir Mag.
Le prince Harry et Meghan Markle se devraient de donner une "place psychique particulière à ce bébé".
"Certains ont besoin d’en parler, non seulement pour faire exister cet enfant mais aussi pour partager leur expérience, que certaines personnes qui sont
passées par là se sentent moins seules. Cela reste un tabou et c’est assez dur à vivre", a-t-elle ajouté.
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