Depuis l’élection de Donald Trump, la situation de Meghan Markle et du prince Harry sur le sol américain est remise en question par certains observateurs.
En 2019, peu après une tournée en Afrique australe et un an avant leur sortie de la famille royale, le prince Harry était particulièrement nerveux, avant d’appeler la reine Elizabeth pour l’informer que son épouse, Meghan Markle, allait poursuivre en justice plusieurs médias britanniques. Il était mal à aise.
Le duc du Sussex était au bord de la crise de nerfs avant son appel téléphonique explosif à la reine pour l’informer du projet de Meghan Markle de poursuivre Associated Newspapers Limited pour la publication des lettres personnelles entre elle et son père, Thomas Markle.
« Harry a souvent une crise de nerfs avant de devoir parler à la reine. Donc, quand il a rejoint son équipe dans un bar ce soir-là, il s’est assis là, tellement tendu et nerveux que son secrétaire, Sam Cohen, lui a dit : ’Tu as besoin d’une bière », rapporte le livre de Valentine Low, « Courtiers : the hidden power behind the Crown, à paraître le 6 octobre 2022 au Royaume-Uni. Des extraits ont été publiés par le Daily Mail.
Le prince Harry publiera par la suite sa propre déclaration, dans laquelle il condamnera les médias et accusera les tabloïds de mener une « campagne impitoyable « contre Meghan, la diffamant presque quotidiennement ».
La journaliste britannique ne précise pas la réactions de la reine Elizabeth à la suite de cet appel.
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