A l’époque, il avait interdiction de parler de ce traumatisme sur ordre de la reine.
« Ils avaient reçu l’ordre du directeur de ne pas évoquer l’accident de la princesse de Galles. Il fallait faire comme si rien ne s’était produit, ordre de Sa Majesté » , écrit dans son livre Katia Alibert, qui collabore avec le magazine Gala.
Et de préciser que quelques années plus tard, il n’avait pas encore fait son deuil et lui arrivait d’éprouver des envies de suicide.
« Souvent, il chevauchait sa moto et parcourrait la campagne anglaise à toute vitesse, se faisait peur parfois allant affronter le danger avec une envie d’en découdre avec la mort, de puiser dans ses limites », relate-t-elle.
C’était une manière pour l’héritier de la couronne de tester ses limites, et de se confronter à la mort qui lui a ravi sa mère.
« Une façon, peut-être, de tester ses limites « il n’a pas eu le choix, c’était la condition indispensable à sa survie », indique-t-elle.