Une fois cette campagne présidentielle longue et difficile terminée, il ne serait pas exclu que Sarah Knafo, la compagne d’Eric Zemmour, craque. Elle aurait subi de nombreuses épreuves ces derniers mois.
Comme le rapportait le magazine « Public », qui faisait état de sa fausse-couche en février, son omniprésence dans cette campagne est apparue évidente pour les Français.
La magistrate à la Cour des comptes se donne à fond depuis « des mois, des années », pour Eric Zemmour, qu’elle aurait poussé se présenter à cette élection présidentielle.
Dès février 2019, soit depuis trois ans, “elle pilote les initiatives pro-Zemmour, filtre les recrutements, met les volontaires en contact, échafaude le plan médias, distille le récit officiel aux journalistes”, explique le journal Le Monde, repris par Public.
En avril 2021, c’est aussi Sarah Knafo, née il y a 28 ans en région parisienne, qui aurait réuni les premiers soutiens d’Eric Zemmour.
Antoine Diers, le directeur adjoint de la campagne, l’avait d’ailleurs reconnu lui-même.
« Elle est à l’origine de tout », lâche-t-il, évoquant un « travail titanesque », qui exige un engagement sans retenue.
Pour la compagne d’Eric Zemmour, il n’y aurait pas de temps mort, à part cette escapade en décembre dernier à Saint-Martin aux Antilles, à l’occasion des fêtes de fin d’année, où elle était repérée avec son homme. Leur escapade amoureuse a été immortalisée non seulement par Closer, mais aussi par Public.
Sarah Knafo affichait un ventre particulièrement rebondi, un bébé qu’elle aurait finalement perdu.
« Lorsque le candidat accorde une interview au magazine Elle, la présence de Sarah est “très visible”. Elle “tend les fiches, éclaire, complète et étaye les propos lorsque la pensée vacille », précise la publication.
Elle aurait trop donné !
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