Le magazine Closer, qui les a immortalisés en balade dans les rues de Paris, occasion de souligner les rondeurs naissantes de la magistrate à la cour des comptes, a précisé la manière dont ils collaborent.
Eric Zemmour se chargerait des idées, tandis que sa conseillère se charge de “tout le reste”, fiches, plan médias, communication auprès des journalistes, etc.
« Il lui demanderait son avis sur tout. Sans elle et son “ambition pour
deux”, le sexagénaire au verbe haut n’aurait sans doute pas franchi
le pas de la présidentielle. Avec elle et son admiration sans limites,
il a en tout cas accepté de passer de mentor et parrain à papa », glisse la publication.
Très exigeante, Sarah Knafo serait sans doute déçue par la première prestation d’Eric Zemmour en qualité de candidat à la présidence de la République.
Ses détracteurs l’ont incendié et en premier lieu Marine Le Pen, qu’il pensait pourtant avoir éclipsée.
« Mais ira-t-il jusqu’au bout ? Je ne sais pas.
Il dit avoir fait une « mue » présidentielle », dit-elle, assurant qu’elle n’a pas du tout constaté cette mutation présidentielle, raison pour laquelle il était en difficulté dans au JT de TF1.
« L’exercice d’intervieweur est plus facile, semble-t-il, que celui d’interviewé. Je pense que son état d’esprit n’est pas celui qu’il faut pour
gagner : la morbidité ne fait pas un projet ».