Lors d’une prise de parole auprès de Daphné Bürki dans l’émission Culturebox sur France 4, l’actrice de 39 ans s’est livrée à quelques confidences intimes, dévoilant une manie aussi inattendue qu’intime.
Véritable star lors de sa montée des marches au dernier Festival de Cannes, vêtue d’une somptueuse robe nuisette scintillante signée Michael Kors, Laura Smet a saisi l’occasion pour annoncer un projet cinématographique majeur : la réalisation de son premier long métrage prévu l’année prochaine. Un projet qui lui tient particulièrement à cœur, comme elle l’a avoué à la journaliste avec émotion : "Je travaille dessus depuis six ans, c’est quelque chose qui me transcende".
Pourtant, derrière cette réussite professionnelle, Laura Smet cache un tic étonnant, révélé avec une franchise désarmante devant les téléspectateurs.
Elle a confessé : "Je ne peux rien faire si je n’ai pas les sourcils maquillés". Et avec humour, elle a ajouté : "Même s’il y a un immeuble qui brûle, je m’en fiche ! On me dirait : ’Tout le monde dehors !’, je répondrais : ’Non, d’abord maquille mes sourcils, je préfère brûler maquillée que brûler sans rien’". Et un jour, même s’elle se sent menacée, pas question de sauver ou de quitter son domicile s’elle ne s’est pas fait les sourcils.
Ainsi, son crayon à sourcils est devenu son indispensable porte-bonheur, son rituel incontournable avant de quitter son domicile.
Alors que certains s’accrochent à des objets sentimentaux ou porte-bonheur, Laura Smet, elle, accorde une importance particulière à son apparence, mettant en valeur son regard perçant.