La comédienne officiera dès le 23 février le rôle de présidente de la 49e cérémonie des César. Elle l’avait déjà fait à trois reprises.
En entretien accordé à Paris Match, Valérie Lemercier a hésité à accepter à cause du trac.
« J’ai de plus en plus le trac avec le temps et il peut même réussir à me paralyser », confie-t-elle dans un premier temps avant se livrer sur les autres affaires qui secoue l’industrie cinématographiques, dont celle de Gérard Depardieu, son partenaire dans Astérix et Obélix, Au service de sa Majesté.
Pas question pour l’accabler ou de le défendre.
« Mon rôle consiste à détendre, à amuser. Ai-je le droit de divertir, et une indignation de plus ou de moins a-t-elle un sens ? », s’interroge-t-elle, rappelant qu’elle n’a jamais signé de pétition dans sa vie.
« Beaucoup mélangent tout dans l’affaire Depardieu. Il n’y a pas de sens à se prononcer pour ou contre dans une affaire qui regarde, avant tout, la justice. Et, bien sûr, les victimes », a-t-elle estimé.