Sophie Marceau est affichée en Une du magazine Histoire Vérité, qui affirme qu’elle a eu la peur de sa vie. Elle l’aurait échappé belle.
Sophie Marceau surprend en se lançant dans l’écriture avec la sortie de son livre "La souterraine" dont la sortie est le 4 mai. Elle y évoque des secrets de famille.
À 56 ans, la petite fiancée de Français, qui a débuté sa carrière à l’âge de 14 ans dans le film "La boum", livre ses réflexions personnelles à travers un recueil d’histoires, de contes et de poèmes sur des thèmes variés tels que l’éducation, l’expression corporelle et le poids du destin féminin.
Dans une interview accordée au magazine Elle, elle se laisse aller à quelques confidences sur sa mère et son rapport difficile à la féminité.
Sophie Marceau, qui a toujours été très discrète sur sa vie privée, révèle que sa mère a vécu des blessures profondes liées à son histoire familiale et qu’elle n’a pas pu lui transmettre les codes de la féminité.
La comédienne explique que dans sa famille, la généalogie des femmes est marquée par une histoire commune de souffrance. Elle témoigne ainsi de l’impact de l’histoire familiale sur la vie des femmes et sur leur rapport à leur corps.
Sa mère était détestée par son propre père.
« Ma mère, c’est particulier, je ne sais pas ce qui s’est passé dans la tête de mon grand-père, je ne l’ai pas connu, je sais seulement qu’il était cheminot, et que l’arrivée de ma mère lui a inspiré de la répugnance », a confié celle qui aurait mis à sa relation avec Richard C, après deux ans de vie commune. Sa mère est décédée des suites d’un cancer.
Pourtant, c’est grâce à sa carrière d’actrice que Sophie Marceau a appris à jouer de ses atouts physiques et à se sentir belle.
Elle explique que la transformation en personnages de cinéma lui a permis de prendre conscience que les femmes avaient le droit de se sentir belles, malgré les stéréotypes et les préjugés de la société.
Avec ce livre, la maman de deux enfants semble vouloir transmettre ces réflexions et inciter les femmes à se libérer des contraintes liées au poids de l’histoire familiale et des préjugés sur la féminité.
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