
Le procès de Stéphane Plaza, accusé de "violences habituelles sur conjointes", s’ouvre ce mercredi 28 août devant le tribunal correctionnel de Paris.
La condamnation de Stéphane Plaza pour violences conjugales risque d’avoir de lourdes conséquences sur son réseau d’agences immobilières. Plusieurs franchisés souhaitent quitter le groupe, mais les contrats les en empêchent.
L’image de marque de Stéphane Plaza s’est considérablement dégradée depuis ses démêlés judiciaires. Les franchisés, qui peinent à attirer de nouveaux clients, sont de plus en plus nombreux à vouloir quitter le réseau, rapporte « Le Parisien », qui a recueilli quelques confidences.
Les contrats signés avec l’animateursont particulièrement contraignants. Pour quitter le réseau, les franchisés doivent payer des sommes considérables à Stéphane Plaza. "Si je veux partir, je dois payer 120 000 euros de dédommagements", a déploré un agent franchisé.
D’autres collaborateurs ont dénoncé des conditions de départ abusives, révélant que le réseau leur demandait des sommes importantes ainsi qu’une clause de non-concurrence d’un an.
Cette situation pourrait mener Stéphane Plaza une nouvelle fois devant les tribunaux. Les franchisés, qui se sentent lésés, pourraient intenter une action en justice contre l’animateur.
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