Le livre récemment paru, intitulé "Charlène Story" et écrit par l Arlene Prinsloo, nous plonge dans l’univers fascinant de Charlène de Monaco. Des détails sont livrés par France Dimanche.
Dans le cadre de sa matinale sur « Europe 1 », Thomas Sotto a poussé une gueulante suite à l’agression dont a été victime un journaliste de Quotidien, malmené par la garde rapprochée de Marine Le Pen.
Paul Larrouturou a été pris à partie par le service d’ordre de Marine Le Pen au Salon des entrepreneurs organisé à Paris le 1er février 2017.
Exclus des conventions du FN, les journalistes de Quotidien ont malgré tout tenté d’aller à la rencontre de la candidate à la présidence de la république lors de son déplacement au Salon des entrepreneurs.
Le journaliste de l’émission de Yann Barthès a essayé de poser une question à la présidente du FN lorsque sa garde rapprochée l’a violemment expulsé, comme le montre la vidéo dévoilée dans le cadre du programme quotidien de TMC qui bat des records d’audience.
Thomas Sotto a réagi à cette affaire dans le cadre de son émission sur Europe 1.
« Ce matin, je voudrais être sérieux deux secondes pour revenir sur ce qui est arrivé à un journaliste de Quotidien. Il s’appelle Paul Larrouturou. Et hier, il a voulu poser une question à Marine Le Pen, lors d’un déplacement. C’est là que deux agents de sécurité s’en sont pris à lui physiquement. Les images sont ultra claires : c’est une agression physique !, a lancé Thomas Sotto. Pas le signe d’une démocratie en bonne santé ».
« Bien sûr que vous avez le droit, le devoir même, de nous critiquer, bien sur que nous sommes loin d’être toujours irréprochables comme dans tous les métiers... Mais ça fait des mois que beaucoup de politiques de tous bords tapent verbalement régulièrement - et violemment - sur les journalistes, chauffent parfois leurs militants, faisant de nous des cibles. D’ailleurs, les incidents se multiplient dans les meetings. Une chose est sûre : s’en prendre physiquement à un journaliste n’est jamais le signe d’une démocratie en bonne santé », a conclu Thomas Sotto.
">1 février 2017Nous souhaitions simplement savoir si le garde du corps de Marine Le Pen avait eu un emploi fictif au Parlement européen ou non. #Quotidien pic.twitter.com/MVEHh4PZxn
— Quotidien (@Qofficiel) https://twitter.com/Qofficiel/status/826870420032933891
">2 février 2017Tu mens
Tu trinquesDélicieux headshot.. pic.twitter.com/TFdB8lvvP0
— Guillaume Blardone (@gblardone) https://twitter.com/gblardone/status/827075854282940418
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